18‏/06‏/2009

Dix questions (qui tuent) à poser aux sionistes


Naturei Karta

(...) Il y aurait bien d'autres questions similaires à poser à ces dégénérés athées, plus connus sous le nom d' « hommes d'Etat juifs », mais, pour le moment, laissons-les répondre aux dix questions.

1/ Est-il vrai qu'en 1941, puis à nouveau en 1942, la Gestapo allemande a offert à tous les juifs européens la possibilité de transiter en Espagne, s'ils renoncaient à tous leurs biens en Allemagne

et en France occupée, aux deux conditions ci-après :

a) aucun des déportés ne devraient partir d'Espagne pour la Palestine ;

b) tous les déportés seraient acheminés d'Espagne aux Etats-Unis ou dans des colonies britanniques, afin d'y demeurer ; des visas d'entrée seraient accordés aux juifs vivant dans ces contrées ; une rançon d'un montant de 1 000 dollars pour chaque famille serait fournie par l'Agence [juive], à l'arrivée desdites familles à la frontière espagnole, au rythme de mille familles par jour


2/ Est-il vrai que les dirigeants sionistes de Suisse et de Turquie ont accepté cette offre, pleinement conscient du fait que l'exclusion de la Palestine, comme destination des déportés, était fondée sur un accord passé entre la Gestapo et le Mufti [de Jérusalem] ?

3/ Est-il exact que la réponse faite par les dirigeants sionistes fut négative, et accompagnée des commentaires suivants :

a) Seule, la Palestine pourrait être considérée une destination acceptable pour les déportés ;

b) Les juifs européens doivent souffrir davantage et mourir en plus grand nombre que les autres nations, afin que les alliés, une fois victorieux, avalisent un « Etat juif » à la fin de la guerre ;

c) Aucune rançon ne sera payée ?

4/ Est-il exact que la réponse à l'offre de la Gestapo a été faite dans une connaissance totale du fait que l'alternative à cette offre, c'étaient les chambres à gaz ?

5/ Est-il vrai qu'en 1944, à l'époque des déportations en Hongrie, une offre similaire avait été faite, ce qui aurait permis de sauver tous les juifs de ce pays ?

6/ Est-il vrai que cette même hiérarchie sioniste a, à nouveau, refusé cette offre (après que les chambres à gaz aient déjà prélevé leur effroyable tribut de plusieurs millions de victimes) ?

7/ Est-il vrai qu'au plus haut des tueries, durant la guerre, 270 membres du Parlement britannique ont proposé d'évacuer quelque 500 000 juifs d'Europe, et de les réinstaller dans des colonies britanniques, dans le cadre de négociations

diplomatiques avec l'Allemagne ?

8/ Et n'est-il pas vrai que cette offre a été rejetée par les dirigeants sionistes, avec ce commentaire : « Vers la Palestine, sinon rien ! » ? .

9/ Est-il exact que le gouvernement britannique a accordé des visas à 300 rabbins et membres de leur famille, leur permettant de se rendre dans l'Île Maurice, ainsi qu'un sauf-conduit pour les personnes évacuées via la Turquie. Les dirigeants de l' « Agence juive » ont saboté ce plan, faisant remarquer qu'il était déloyal vis-à-vis de la Palestine et que les 300 rabbins, ainsi que les membres de leur famille méritaient d'être gazés.


10/ Est-il vrai que durant les négociations mentionnées plus haut, Chaim Weitzman, le premier « homme d'Etat juif » déclara : « La partie la plus précieuse de la nation juive est d'ores et déjà en Palestine, et ces juifs-là, qui vivent en-dehors de la Palestine, n'ont pas tellement d'importance ». L'adjoint de Weitzman, Greenbaum, aggrava cette déclaration, faisant la remarque suivante : « Une vache, en Palestine, est plus précieuse que tous les juifs d'Europe » ?

Il y aurait bien d'autres questions similaires à poser à ces dégénérés athées, plus connus sous le

nom d' « hommes d'Etat juifs », mais, pour le moment, laissons-les répondre aux dix questions.

Ces « hommes d'Etat » sionistes, si grande était leur clairvoyance, voulaient mettre un terme à deux mille ans d'obéissance juive et de compromis politiques juifs respectant l'ordre divin. Avec leur militance offensive, ils ont attisé les incendies de l'antisémitisme en Europe, et ils ont réussi à forgé une chaîne de haine anti-juive entre l'Allemagne nazie et les pays environnants.

Ce sont ces « hommes d'Etat » qui avaient organisé le boycott totalement irresponsable contre l'Allemagne, en 1933. Ce boycott a été, pour l'Allemagne, ce qu'une piqûre de puce est à un éléphant ; en revanche, il a causé la catastrophe pour les juifs d'Europe. En des temps où l'Amérique et l'Angleterre étaient en paix avec le chien fou Hitler, les « hommes d'Etat » sionistes ont négligé la seule méthode plausible d'aménité politique ; et, par leur boycott, ils ont suscité chez le dirigeant de l'Allemagne une colère frénétique. Ensuite, après le pire épisode de l'histoire juive, ces « hommes d'Etat » sioniste ont trompé les réfugiés brisés dans les camps de personnes déplacées, les maintenant dans la faim et les privations, et leur demandant de refuser toute proposition de réinstallation ailleurs qu'en Palestine, à seule fin de pouvoir y installer leur Etat.

Les « hommes d'Etat » sionistes ont incité, et continuent à inciter, une jeunesse juive amère dans

des guerres inutiles contre les puissances mondiales, comme l'Angleterre, ainsi que contre des masses arabes se comptant par centaines de millions.

Et ce sont ces mêmes « hommes d'Etat » sionistes qui sont en train d'entraîner le monde entier dans une autre guerre totale – tournant entièrement autour de la Terre Sainte.

Ce qui risque d'advenir aux habitants juifs de la Palestine, du croissant fertile arabe, de l'Europe ou des Etats-Unis, ces dirigeants sionistes s'en moquent éperdument. La montée de l'antisémitisme dans le monde occidental est le produit de leur soi-disant « responsabilité ».

Sous le travestissement de l' « amour d'Israël », les « hommes d'Etat » sionistes ont incité beaucoup de juifs à substituer à leur dévotion pour la Torah et ses Sages une dévotion envers le ruffian fondateur du sionisme. Il est hautement significatif qu'Herzl, originellement, ait recherché la conversion des juifs, comme solution aux problèmes de la Diaspora. Ayant pris conscience que cela n'était pas acceptable, pour les masses juives, il inventa le sionisme, qui était, à ses yeux, la solution idoine !

L'examen de l'histoire montre que c'est exactement ce même type d' « homme d'Etat » qui s'étaient opposés à l'appel du prophète Jérémie à obéir aux mignons de Nabuchodonosor lors de la destruction du Premier Temple. Cinq siècles plus tard, le Rabbin Yochonon Ben Zakai appela son peuple à se rendre à l'empereur romain Titus afin d'éviter un bain de sang. Les « hommes d'Etat » rejetèrent cet appel, et le Second Temple fut détruit par les Romains. Et cela fait aujourd'hui cinquante ans que les « hommes d'Etat » sionistes rejettent le leadership de nos Sages ; et continuent leur politique consistant à fomenter l'antisémitisme. Quand s'arrêteront-ils ? Est-ce que tous les juifs doivent souffrir, en Amérique aussi ? Même les monstres nazis étaient plus sensés qu'eux : ils ont renoncé à leur guerre avant que toute l'Allemagne ne soit détruite. Les « hommes d'Etat » sionistes ridiculisent le serment sacré auquel le Créateur a soumis les juifs dans la Diaspora.

Notre Torah, dans son Traité Ksubos, folio 111, spécifie que le Créateur, qu'Il soit béni, a fait jurer aux juifs de ne pas occuper la Terre Sainte par la force, même s'il semble qu'ils aient la force suffisante pour ce faire, et de ne pas se rebeller contre les Nations. Et le Créateur a averti que si Son jurement était violé, la chair juive serait du « gibier licite pour tout le monde », comme les animaux sauvages dans la forêt ! Tels sont les termes mêmes de notre Torah ; et ces concepts ont été cités dans les traités « Igeres Teimon », « Be'er HaGola », « Ahavas Yehonosson » de Maïmonide, ainsi que dans le « Toras Moshe » de Chasam Sofer.

Tout le monde sait que tous les sages et tous les saints, en Europe, à l'époque de l'ascension d'Hitler vers le pouvoir, déclaraient qu'il était un message de la colère divine, envoyé afin de châtier les juifs en raison de l'atroce apostasie du sionisme contre la croyance en une rédemption messianique eschatologique.

Ô, juifs – fils miséricordieux de pères miséricordieux – combien de temps encore le sang sacré des juifs continuera-t-il à être versé ?

La seule solution, la voici :
Le peuple juif doit rejeter, immédiatement et totalement, tout « Etat juif ».

Le peuple juif doit accepter le compromis américain.

Nous devons démettre les « hommes d'Etat » sionistes athées de leur rôle de dirigeants de la communauté juive, et revenir au leadership fidèle de nos sages.

Nous supplions les Nations de toutes ouvrir leurs portes à l'immigration – et non pas seulement celles de la Palestine.

Les personnalités religieuses pacifiques et non-sionistes, en Palestine, (en particulier, dans la population indigène), et leurs homologues dans la Diaspora, doivent engager des négociations responsables, en face-à-face, au nom du peuple juif, avec les Britanniques et avec les Arabes ; dans le but trouver un règlement amiable à la question de Palestine.

Tout juif est tenu de prier le créateur Béni, car c'est en Lui que réside toute notre force. Conservons à l'esprit que nos prières doivent être adressées directement. Nul ne devrait demander au Créateur de prodiguer un banquet le jour du Pardon, et nul ne doit procéder à une ablution rituelle en ayant un insecte mort dans la main. De même, nous devons absolument éviter la position intenable qui est celle du voleur priant et demandant l'aide divine pour l'accomplissement de son crime. Nous devons prier en demandant que le sionisme et ses conséquences disparaissent de la surface de la Terre, et que nous soyons rédimés par le Messie sans tarder.

Ce n'est qu'après qu'il eut accompli son terme que l'on peut relâcher le prisonnier ; ou bien s'il est gracié, en raison de sa bonne conduite, par le Président. S'il tente de s'enfuir et qu'il est rattrapé, la durée de son emprisonnement est allongée, sans oublier qu'il est passé à tabac quand il se fait rattraper.

Ô, vous les juifs fidèles, depuis plus de trois mille cinq-cents ans, dans toutes les parties du

monde, à travers toutes les épreuves, nos grands-parents ont franchi des océans de sang et de larmes afin de conserver la Foi de la Torah, imperturbablement. Si nous avons de la compassion pour nous-mêmes, pour nos femmes et nos enfants, et pour le peuple juif, nous maintiendrons notre legs doré aujourd'hui encore. Nous avons été condamnés à l'exil par le Roi des Rois à cause de nos péchés. L'Eternel, qu'Il soit béni, a décrété que nous devons accepter l'exil avec une humble gratitude, jusqu'à la venu du temps, ou jusqu'à ce que nous méritions Son pardon au moyen de notre repentance, et que si nous recherchons à mettre un terme à l'exil par la force, D.eu nous arrêtera, comme nous en ont averti nos sages, et notre sanction deviendrait alors plus longue et plus sévère.

A maintes reprises, par le passé, des parties de notre peuple ont été trompées par de faux messies – mais aucun de ces faux messies n'avait été aussi fallacieux et trompeur que le mensonge du sionisme. En se référant à notre expérience historique, nous savons qu'aucun châtiment n'a jamais été, ni ne sera jamais, plus terrible que celui que nous recevrons pour avoir apporté foi au sionisme. Si nous voulons que notre condamnation à l'exil soit commuée, nous devons faire appel au moyen de la repentance ; et à une observance totale, tant physique que spirituelle, du shabbat, des lois de la pureté familiale et de l'étude de la Torah.

Qu'il soit bien compris que jamais, dans toute l'histoire juive (et même aux temps de Jéroboam ou d'Achav), ne se sont emparé des rênes du peuple juif des athées aussi hostiles qu'aujourd'hui.

Comment pouvons-nous demander la merci du Tout-Puissant, dès lors que nous tolérons ces dirigeants vils et retors comme porte-paroles ! Mes frères bien-aimés, nettoyons nos rangs, et nettoyons notre milieu ; demandons au Tout-Puissant, à travers nos prières, notre repentance et l'accomplissement des bonnes actions [mitsvot] qu'Il nous rédime tous, comme seul Il peut le faire, immédiatement !

Lisez cet extrait (en anglais) de l'ouvrage du Rabbin Weissmandl : Sefer Min Hametzar.
« Si les gens savaient ce que nous avons fait, ils nous pourchasseraient dans les rues, et ils nous lyncheraient ». George H.W. "Poppy" Bush.

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