Le gouvernement israélien n’a bien exprimé en détails ses positions en ce qui concerne les négociations à venir avec les Palestiniens. On comprend bien qu’il concentre effectivement toute son attention sur l’affaire iranienne qui représente une menace existentielle. Et c’était dans cet esprit-là que Netanyahu s’est rendu en visite à Washington.
Cependant, quant le jour où les négociations concrètes reprendront, "Israël" devra éviter l’erreur diplomatique commise par ses prédécesseurs quand il s’agit de délimiter les intérêts essentiels d’"Israël", surtout en ce qui concerne la ville d’Al-Quds.
Ces deux dernières décennies, les méthodes des deux parties divergent. Les Palestiniens reviennent à dire que leur but est un Etat, avec la ville d’Al-Quds comme capitale. Pour leur part, les Israéliens ne lancent que des déclarations au sens général. Ils s’entêtent à dire que leur but est la paix, ou la paix et la sécurité.
En d’autres termes, au moment où les Israéliens ne parlent que des généralité, les Palestiniens parlent d’un objectif clair, tangible et bien délimité. Il est une règle connue que dans toute confrontation politique, celui qui possède un objet clair gagne. Il n’est alors pas étrange que les discussions actuelles tournent autour de la version palestinienne et que les réclamations israéliennes soient laissées dans un coin.
De cette façon, l’image sur le niveau diplomatique ne cesse de reculer devant le monde entier.
Dans le passé, "Israël" a été reconnue pour ses revendications, en particulier pour la ville d’Al-Quds.
A titre d’exemple, en 1967, lorsque l’armée israélienne est entrée dans la partie orientale de la ville d’Al-Quds, les experts juridiques ont donné des droits privilégiés à "Israël" dans la ville, pour le fait qu’elle soit entrée dans la ville au cours d’une guerre défensive.
Tifan Shfabel, le conseiller américain président du tribunal, disait en 1970 qu’"Israël" a plus de préséance sur la terre de la Palestine que la Jordanie et l’Egypte.
Et après cette guerre de juin 1967, le Conseil de Sécurité des Nations Unies n’a pas insisté dans sa décision n° 242 pour qu’"Israël" se retire derrière les frontières d’avant cette guerre.
Et en 1994, Madeleine Albright, ambassadrice des Etats-Unis aux Nations Unies, a refusé de reconnaître "Israël" en tant que zone palestinienne occupée par "Israël".
Et l’ancien premier ministre Isaac Rabin insistait à dire que le droit d’"Israël" sur la ville d’Al-Quds n’empêcherait pas d’effectuer des négociations avec les Palestiniens.
Mais deux ans après la signature de l’accord d’Oslo, ce même Rabin revient sur ses paroles et dit devant la Knesset qu’il faut garder unie la ville d’Al-Quds (unie pour les Israéliens bien évidemment). Cette position lui a valu l’appui d’une bonne majorité au parlement.
Depuis cette date, "Israël" a connu deux gouvernements qui ont suggéré la division de la ville d’Al-Quds en deux parties. Mais l’affaire n’est pas arrivée au point d’être obligeante. "Israël" n’a pas besoin de s’enchaîner par des feuilles de route de négociations qui n’ont connu que l’échec. Défendre la ville d’Al-Quds exige d’"Israël" une diplomatie particulière mettant l’unité de la ville comme un objectif national israélien. Il ne faut pas céder devant les négociateurs palestiniens pour ce qui est de la ville.
Cependant, quant le jour où les négociations concrètes reprendront, "Israël" devra éviter l’erreur diplomatique commise par ses prédécesseurs quand il s’agit de délimiter les intérêts essentiels d’"Israël", surtout en ce qui concerne la ville d’Al-Quds.
Ces deux dernières décennies, les méthodes des deux parties divergent. Les Palestiniens reviennent à dire que leur but est un Etat, avec la ville d’Al-Quds comme capitale. Pour leur part, les Israéliens ne lancent que des déclarations au sens général. Ils s’entêtent à dire que leur but est la paix, ou la paix et la sécurité.
En d’autres termes, au moment où les Israéliens ne parlent que des généralité, les Palestiniens parlent d’un objectif clair, tangible et bien délimité. Il est une règle connue que dans toute confrontation politique, celui qui possède un objet clair gagne. Il n’est alors pas étrange que les discussions actuelles tournent autour de la version palestinienne et que les réclamations israéliennes soient laissées dans un coin.
De cette façon, l’image sur le niveau diplomatique ne cesse de reculer devant le monde entier.
Dans le passé, "Israël" a été reconnue pour ses revendications, en particulier pour la ville d’Al-Quds.
A titre d’exemple, en 1967, lorsque l’armée israélienne est entrée dans la partie orientale de la ville d’Al-Quds, les experts juridiques ont donné des droits privilégiés à "Israël" dans la ville, pour le fait qu’elle soit entrée dans la ville au cours d’une guerre défensive.
Tifan Shfabel, le conseiller américain président du tribunal, disait en 1970 qu’"Israël" a plus de préséance sur la terre de la Palestine que la Jordanie et l’Egypte.
Et après cette guerre de juin 1967, le Conseil de Sécurité des Nations Unies n’a pas insisté dans sa décision n° 242 pour qu’"Israël" se retire derrière les frontières d’avant cette guerre.
Et en 1994, Madeleine Albright, ambassadrice des Etats-Unis aux Nations Unies, a refusé de reconnaître "Israël" en tant que zone palestinienne occupée par "Israël".
Et l’ancien premier ministre Isaac Rabin insistait à dire que le droit d’"Israël" sur la ville d’Al-Quds n’empêcherait pas d’effectuer des négociations avec les Palestiniens.
Mais deux ans après la signature de l’accord d’Oslo, ce même Rabin revient sur ses paroles et dit devant la Knesset qu’il faut garder unie la ville d’Al-Quds (unie pour les Israéliens bien évidemment). Cette position lui a valu l’appui d’une bonne majorité au parlement.
Depuis cette date, "Israël" a connu deux gouvernements qui ont suggéré la division de la ville d’Al-Quds en deux parties. Mais l’affaire n’est pas arrivée au point d’être obligeante. "Israël" n’a pas besoin de s’enchaîner par des feuilles de route de négociations qui n’ont connu que l’échec. Défendre la ville d’Al-Quds exige d’"Israël" une diplomatie particulière mettant l’unité de la ville comme un objectif national israélien. Il ne faut pas céder devant les négociateurs palestiniens pour ce qui est de la ville.
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